Yara mise sur l’enrobage nutritionnel des semences
À travers sa nouvelle plateforme Seedfoster, Yara travaille sur l’enrobage nutritionnel des semences. Un mode de fertilisation qui reste encore original aujourd’hui.
À travers sa nouvelle plateforme Seedfoster, Yara travaille sur l’enrobage nutritionnel des semences. Un mode de fertilisation qui reste encore original aujourd’hui.
Habituellement, Eric et Claire Boisleux pratiquent un passage de strip-till à l'automne dans le couvert vivant. Cette année, le sol était trop sec en septembre... et trop humide au mois de novembre après une période de pluie. Il n'y a plus qu'à attendre des conditions propices pour espérer effectuer cette intervention.
Nous avons rencontré Clément Lemaire, céréalier dans le département de la Marne. Il s'est lancé dans la conception et l'impression de cannelures pour son semoir. Résultats pour lui, économie (prix de la cannelure estimé à 2 euros), et autonomie sur l'exploitation. Première étape, trouver un...
Culture sensible au stress hydrique, aux températures trop élevées, et aux insectes, le colza de printemps connaît beaucoup de freins quant à son développement sur le territoire français.
Après trois années d’essais sur sa plateforme en Picardie, le réseau Syppre fait la démonstration que certaines stratégies permettent de s’affranchir des insecticides sur la culture du colza.
Biomass For the Future (BFF) s’appuie sur des approches génétiques pour accélérer la création de nouvelles variétés de miscanthus et de sorgho.
Ce n’est pas encore une habitude, mais c’est en passe de le devenir… Terres Inovia dévoile les références 2020 sur les variétés de pois chiche obtenues dans le cadre du réseau d’essais Terres Inovia-Partenaires, pour la seconde année.
Nouvelle homologation pour l'entreprise UPL et sa filiale NEO-FOG (basée à Frelinghien dans le Nord) : Argos® (AMM n°2200899), un antigerminatif pour les pommes de terre, à base d’huile d’orange, extraite de la peau des oranges.
Bientôt, les variétés de blé peu sensibles aux maladies représenteront 50 % de la sole française de la culture. Une évolution qui change aussi les stratégies de sa protection.
En 2020, la nuisibilité moyenne des maladies du blé était de 8 q/ha. De quoi s’abstenir de réaliser le T1. Une stratégie qui deviendra bientôt une habitude.