En ce début de mois d'avril, le pétrole perd encore du terrain et ne semble pas vouloir se maintenir autour des 40$. Cette baisse est justifiée notamment par l'Arabie Saoudite, qui annonce ne pas vouloir geler sa production si de son côté l'Iran ne le fait pas. A une dizaine de jours de la réunion des pays producteurs de pétrole à Doha, peu d'élémènent pour imaginer un changement de cap.
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