La parité euro/dollar dépasse les 1,19, et ce n’est pas tant la hausse de la monnaie unique qui justifie ce niveau de parité, mais plutôt la faiblesse du dollar. Les analystes financiers mettent en avant l’optimisme des investisseurs. La transition entre le Président sortant Donald Trump et le nouveau Président élu, Joe Biden, est entamée, l’arrivée d’un vaccin est aussi source d’espoir. Dans ce contexte le dollar perd de l’intérêt pour ceux qui aiment le risque. Par ailleurs, la FED, banque centrale américaine pourrait rapidement mettre en place une politique accommodante de rachats d’actifs pour soutenir la croissance.
Marchés agricoles