Les modèles plus robustes sur cultures que pour les bioagresseurs

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Rose grain aphid Metopolophium dirhodum, colony of wingless specimens on wheat leaf.

Toute augmentation de température moyenne de 2 °C permet aux pucerons de générer 5 générations supplémentaires par an.

Crédit photo Tomasz/Adobe Stock
Aussi précieuse soit leur aide pour mieux positionner les interventions de protection des cultures, les OAD sont-ils aussi fiables pour définir le stade des cultures que l'évolution de la pression des insectes ?
Pour ce qui est de modéliser les stades des plantes malgré un climat changeant et une météo capricieuse, Serge Zaka, agroclimatologue, et Luc Lorin, gérant de la société Visio-Crop, sont confiants. Les connaissances engrangées depuis des décennies sont très nombreuses et dans des régions de production très diverses. Les données existent et doivent permettre aux modèles de ne pas être mis en défaut par la nouvelle donne climatique.

>>> Lire aussi : Des outils d'aide à la décision à préparer pour les extrêmes

Luc Lorin estime que « les cultures de printemps et d’été étant très dépendantes des sommes de températures, il est plus facile de modéliser leur cycle. L’approche…
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