Pas question que la qualité ne soit pas au rendez-vous. Et pas question non plus qu’un éclat de verre malencontreux se retrouve dans un bocal de petits pois.
En conséquence, dans l’usine d’aucy du Faouët, à 30 minutes de Quimperlé, dans le Morbihan, l’heure est, comme dans les champs, à la tech.
Tout est mis en œuvre pour que les 55 000 tonnes de matières premières (salsifis, épinards, petits pois, haricots verts, flageolets…) transformées à l’usine soient impeccables, que ce soit pour être ensuite vendues sous la marque d’aucy ou sous celle d’un grand distributeur :
des outils optiques sont utilisés pour vérifier que l’allure des gousses de haricots verts par exemple, est bien la bonne ;
des rayons X vérifient, une fois la stérilisation effectuée, l’absence de tout corps étranger (éclat de verre ou de métal) dans le produit.
Mais la rénovation de l'usine, il y a quatre ans, n'avait pas que pour seul…
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