Depuis quelques années, avec des mois de mars très chauds et secs, les semis de lin textile sont effectués plus précocement. Les épisodes de froid qui arrivent fréquemment ensuite, combinés à une faible pluviométrie, limitent l’expression du potentiel de la culture.
Les vivaces représentent un fléau dans les couverts et les cultures. Idéalement, leur gestion s’effectue dans la culture précédent l’interculture, excepté pour les chardons, qui se gèrent d’avril à septembre.
Semé à la volée ou aussitôt la moisson, le couvert doit prendre de vitesse les adventices et les repousses des cultures pour ne pas être pénalisé.
Avant l’implantation d’un couvert, il est essentiel de bien évaluer le niveau d’infestation en adventices de la parcelle pour anticiper les problématiques. Un travail du sol limité et un couvert développé suffisent à maintenir une situation saine.
Pour réussir un couvert végétal, Sylvain Trommenschlager pense qu’il convient de semer des espèces qui ont la faculté de germer dans un contexte pédoclimatique qui leur correspond. Pour lui, il est essentiel d’établir un état des lieux des corrections à apporter au sol avant de semer un couvert.
Borealis et Hynamics ont pour projet de développer un nouveau procédé consistant à produire de l’hydrogène par électrolyse de l’eau. Ainsi, la France pourrait commercialiser des engrais décarbonés, moins émissifs de GES.
Différentes solutions commerciales de diagnostic de réduction d’émissions de gaz à effet de serre existent, avec des approches différentes qui permettent à chacun de trouver ce qui correspond à ses besoins.
Les bénéfices d’un couvert intermédiaire entre deux cultures sont d’autant plus importants que l’itinéraire technique est bien géré, depuis son implantation jusqu’à sa destruction.
Méthanisation et agriculture biologique sont-elles compatibles ? Pour répondre à cette question, Solagro a effectué des études bibliographiques et des entretiens avec une vingtaine de professionnels, agriculteurs et acteurs de la filière.
Le réseau DEPHY EXPE représente 41 projets, 197 sites d’expérimentation, 260 systèmes innovants. Ces programmes ont pour objectif l’étude de différents leviers et approches agroécologiques pour limiter le recours aux produits phytosanitaires.
